Le tuteur sera chargé de t’accompagner, te faire découvrir les métiers ou évaluer tes compétences selon les besoins de ton stage. Il peut également être en charge, par exemple, d’entretiens au cours du stage pour l’évaluer à mi-parcours ou encore de ton entretien final s’il est prévu d’y en avoir un.
Assure-toi qu’il soit bien identifié avant de signer la convention.
Tu as envoyé un bon CV, une lettre de motivation qui a fait mouche et l’entreprise propose de t’accueillir en stage. Tu vas donc pouvoir passer à la convention de stage.
Elle doit être tripartite, c’est-à-dire signée par l’établissement scolaire ou l’organisme de formation selon le cas, l’employeur et toi ou tes représentants légaux.
Elle reprend les noms et adresse de l’entreprise, de l’organisme de formation et du stagiaire, le tuteur désigné pour t’accompagner, les modalités de stage, la gratification éventuelle, et enfin, les diverses modalités d’assurance.
En cas de difficulté, tu peux contacter un(e) conseiller(e) d’orientation ou le service orientation de l’établissement s’il en dispose.
- Avoir une indemnité de stage.
En période de stage, tu peux avoir une gratification. Celle-ci est obligatoire dès lors que le stage remplit l’une de ces 2 conditions :
- La durée du stage est supérieure à 2 mois consécutifs, OU
- Le stage n’est pas réalisé de manière continue mais atteint au moins 309h (c’est-à-dire 2 mois).
Quel montant ?
Le taux horaire minimum est de 3€90 par heure de stage. Cependant les conventions collectives peuvent faire varier ce montant, il est donc possible que le montant soit supérieur.